J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Le Père m'aime parce que je donne ma vie, pour la reprendre ensuite. Personne n'a pu me l'enlever : je la donne de moi-même. J'ai le pouvoir de la donner, et le pouvoir de la reprendre : voilà le commandement que j'ai reçu de mon Père. "
Dévotion d'Antan au travers des statuettes en porcelaine d'Andenne et Villenauxe.
mardi 12 septembre 2017
Jésus le bon pasteur
Jésus disait aux Juifs : " Je suis le bon pasteur. Le vrai berger donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire, lui, n'est pas le pasteur, car les brebis ne lui appartiennent pas : s'il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s'enfuit ; le loup s'en empare et les disperse. Ce berger n'est qu'un mercenaire et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis.
J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Le Père m'aime parce que je donne ma vie, pour la reprendre ensuite. Personne n'a pu me l'enlever : je la donne de moi-même. J'ai le pouvoir de la donner, et le pouvoir de la reprendre : voilà le commandement que j'ai reçu de mon Père. "
J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Le Père m'aime parce que je donne ma vie, pour la reprendre ensuite. Personne n'a pu me l'enlever : je la donne de moi-même. J'ai le pouvoir de la donner, et le pouvoir de la reprendre : voilà le commandement que j'ai reçu de mon Père. "
mardi 30 mai 2017
Sainte Élisabeth de Hongrie
Élisabeth de Hongrie vécut de 1211 à 1228 au Château de Wartbourg auprès de son époux le landgrave Louis IV de Thuringe et de leurs trois enfants mais aussi de sa belle-mère l'impérieuse Sophie.
Des franciscains allemands lui font découvrir l'esprit de saint François d'Assise et elle décide alors de renoncer à une vie de luxe et de frivolité pour se mettre au service des pauvres.
Sa piété la fait juger extravagante voire indigne par la cour et notamment sa belle-mère, la landgravine Sophie. Ainsi entrant dans une église, la jeune souveraine dépose sa couronne au pied de la croix; Sa belle-mère la critique et lui fait remarquer publiquement que son attitude est indigne d'une princesse. Elisabeth lui rétorque qu'elle ne saurait porter une couronne d'or quand son Dieu porte une couronne d'épine...
On dit qu'elle portait secrètement du pain aux pauvres d'Eisenach, à pied et seule, ce que réprouvait son mari. Un jour qu'il la rencontra sur son chemin, celui-ci, contrarié, lui demanda ce qu'elle cachait ainsi sous son manteau. Elle lui répondit d'abord que c'étaient des roses, puis, se rétractant, elle lui avoua, pour finir, que c'était du pain, et lorsque son mari lui ordonna alors d'ouvrir son manteau, il n'y trouva que des roses : c'est le miracle de sainte Élisabeth de Hongrie.
Des franciscains allemands lui font découvrir l'esprit de saint François d'Assise et elle décide alors de renoncer à une vie de luxe et de frivolité pour se mettre au service des pauvres.
Sa piété la fait juger extravagante voire indigne par la cour et notamment sa belle-mère, la landgravine Sophie. Ainsi entrant dans une église, la jeune souveraine dépose sa couronne au pied de la croix; Sa belle-mère la critique et lui fait remarquer publiquement que son attitude est indigne d'une princesse. Elisabeth lui rétorque qu'elle ne saurait porter une couronne d'or quand son Dieu porte une couronne d'épine...
On dit qu'elle portait secrètement du pain aux pauvres d'Eisenach, à pied et seule, ce que réprouvait son mari. Un jour qu'il la rencontra sur son chemin, celui-ci, contrarié, lui demanda ce qu'elle cachait ainsi sous son manteau. Elle lui répondit d'abord que c'étaient des roses, puis, se rétractant, elle lui avoua, pour finir, que c'était du pain, et lorsque son mari lui ordonna alors d'ouvrir son manteau, il n'y trouva que des roses : c'est le miracle de sainte Élisabeth de Hongrie.
Sainte patronne du personnel hospitalier, des boulangers, des mendiants et des organisations charitables.
Attributs : Vêtement de princesse et couronne, tablier rempli de roses, donant l'aumône aux pauvres .
Elle est fêtée par les catholiques le 17 Novembre.
Attributs : Vêtement de princesse et couronne, tablier rempli de roses, donant l'aumône aux pauvres .
Elle est fêtée par les catholiques le 17 Novembre.
Sainte barbe
Sainte Barbe aurait vécu au milieu du IIIe siècle après Jésus Christ en Bithynie (pan nord-ouest de l'Anatolie) sous le règne de l’empereur Maximien. Son père, Dioscore, aurait été un riche édile païen d'origine phénicienne. Un jour, son père décida de marier Sainte Barbe à un homme de son choix; elle refusa et décida de se consacrer au Christ. Pour la punir, son père l’enferma dans une tour à deux fenêtres, mais un prêtre chrétien, déguisé en médecin, s’introduisit dans la tour et la baptisa.
Au retour d’un voyage de son père, Barbe lui apprit qu’elle avait percé une troisième fenêtre dans le mur de la tour pour représenter la Sainte Trinité et qu’elle était chrétienne. Furieux, le père mit le feu à la tour. Barbe réussit à s’enfuir, mais un berger découvrit sa cachette et avertit son père. Ce dernier la traîna devant le gouverneur romain de la province, qui la condamna au supplice. Comme la jeune fille refusait d’abjurer sa foi, le gouverneur ordonna au père de trancher lui-même la tête de sa fille. Elle fut d'abord torturée : on lui brûla certaines parties du corps et on lui arracha les seins, mais elle refusa toujours d'abjurer sa foi. Dioscore la décapita mais fut aussitôt châtié par le Ciel. Il mourut frappé par la foudre.
Quand les chrétiens vinrent demander le corps de la jeune martyre, ne voulant pas utiliser son prénom perse et ne pouvant pas se dévoiler en utilisant son prénom de baptême chrétien, ils ne purent en parler que comme « la jeune femme barbare », d'où le nom de sainte Barbara qui lui fut donné.
Au retour d’un voyage de son père, Barbe lui apprit qu’elle avait percé une troisième fenêtre dans le mur de la tour pour représenter la Sainte Trinité et qu’elle était chrétienne. Furieux, le père mit le feu à la tour. Barbe réussit à s’enfuir, mais un berger découvrit sa cachette et avertit son père. Ce dernier la traîna devant le gouverneur romain de la province, qui la condamna au supplice. Comme la jeune fille refusait d’abjurer sa foi, le gouverneur ordonna au père de trancher lui-même la tête de sa fille. Elle fut d'abord torturée : on lui brûla certaines parties du corps et on lui arracha les seins, mais elle refusa toujours d'abjurer sa foi. Dioscore la décapita mais fut aussitôt châtié par le Ciel. Il mourut frappé par la foudre.
Quand les chrétiens vinrent demander le corps de la jeune martyre, ne voulant pas utiliser son prénom perse et ne pouvant pas se dévoiler en utilisant son prénom de baptême chrétien, ils ne purent en parler que comme « la jeune femme barbare », d'où le nom de sainte Barbara qui lui fut donné.
Sainte Adèle d'Orp-le-Grand
Sainte
Adèle d'Orp-le-Grand est la fille d'un notable mérovingien. Elle
prit le voile au monastère de Nivelles. Vers 640, elle fonde le
monastère d'Orp-le-grand. Sous le règne de Childéric II, elle
reçoit des moniales de plus en plus nombreuses. Elle fait construire
dans la vallée un oratoire dédié à saint Martin et y transporte
carrément son couvent. On raconte qu'elle aurait perdu la vue, mais
quelle l'aurait retrouvée miraculeusement. À sa mort, vers 670,
elle est enterrée dans la crypte de l'église saint-Martin. Ses
reliques furent placées dans une châsse toujours conservée à
Orp-le-Grand et une procession annuelle est organisée en son honneur
le premier dimanche d'octobre
Sainte
patronne invoquée pour la guérison des affections de la
vue
Attributs : ciboire et église, abbesse couronnée.
Elle
est fêtée par les catholiques le 30 Juin.
jeudi 2 mars 2017
Saint François Xavier
François Xavier naquit d’une grande famille d’Espagne en 1506 ; étudiant à Paris, il s’attacha à saint Ignace.
Il fut ordonné prêtre en 1537 et s’adonna aux œuvres de charité en diverses villes d’Italie.
Envoyé en Orient en 1541, il évangélisa durant dix ans l’Inde et le Japon et y opéra de nombreuses conversions. Il allait pénétrer en Chine quand il mourut en 1552. Grégoire XV le canonisa en 1622.
Envoyé en Orient en 1541, il évangélisa durant dix ans l’Inde et le Japon et y opéra de nombreuses conversions. Il allait pénétrer en Chine quand il mourut en 1552. Grégoire XV le canonisa en 1622.
Saint patron des missions.
vendredi 10 février 2017
Jésus et la Samaritaine
Dans le Nouveau Testament, seul le texte de Jean (IV, 1-30) raconte l'épisode de la rencontre de Jésus et de la Samaritaine. Selon la tradition du christianisme orthodoxe, cette femme est nommée Photine la Samaritaine.
Comme, se reposant près d'un puits, Jésus lui demande à boire, la Samaritaine s'étonne qu'il ose, lui, un Juif, lui demander de l'eau : les Juifs méprisaient les Samaritains et ne leur adressaient pas la parole. Jésus lui répond que l'eau qu'elle puise n'étanche pas la soif, mais que l'eau vive qu'il donne devient jaillissante et que quiconque en boit n'aura plus jamais soif.
lundi 6 février 2017
Saint Félix de Cantalice
Né dans une humble famille de paysans, il passa toute sa vie dans un couvent franciscain de Rome où il était connu sous le nom de "frère Deo Gratias." C'était sa réponse permanente à tous ceux qui lui donnaient l'aumône ou bien le repoussaient. Son optimisme infatigable en fit l'un des saints les plus populaires de la Ville éternelle.
À Rome, en 1587, saint Félix de Cantalice, religieux capucin, d’une austérité et d’une simplicité admirables. Pendant quarante ans, il exerça l’office de quêteur, semant autour de lui la paix et la charité.
À Rome, en 1587, saint Félix de Cantalice, religieux capucin, d’une austérité et d’une simplicité admirables. Pendant quarante ans, il exerça l’office de quêteur, semant autour de lui la paix et la charité.
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